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L'essentiel par l'éditeur
Face aux préoccupations environnementales, de nouvelles alternatives aux funérailles traditionnelles émergent, telles que l'aquamation, la résomation, la promession et l'humusation. Ces méthodes écologiques réduisent l'impact environnemental en limitant l'utilisation d'énergies fossiles et en favorisant la décomposition naturelle. Cependant, leur adoption en France est freinée par des contraintes légales, notamment l'article 16-1-1 du Code civil, qui impose respect et dignité aux restes humains.
À l’heure où la sauvegarde de la planète devient une préoccupation de premier plan, certains scientifiques ont souhaité revisiter le traitement post-mortem de la dépouille mortelle humaine et son incidence sur l’environnement.
En effet, certains constats mettent à mal le recours traditionnel à l’inhumation puisqu’alors qu’il suffisait de 8 à 10 ans autrefois pour que les cadavres soient complètement décomposés, aujourd’hui, leur durée de conservation est plus longue. Ce phénomène se retrouve dans beaucoup de villes d’Europe, notamment en Allemagne, où un tiers des corps enterrés il y a 40 ans ne sont pas encore tout à fait décomposés. Si la présence de conservateurs dans l’alimentation a été mise en cause dans un premier temps, il semble plus probable que l...
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Pratique des opérations funéraires
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